Environ une dizaine de personnes se sont déplacées ce matin au Kraken.

Les restrictions sanitaires étant levées, nous nous sommes installés à l'intérieur du bar, ambiance agréable.

Les cafés citoyens sont ouverts à tous, que l'on soit du Bono ou des communes alentours.

Ce matin une personne de Brech a fait le déplacement.

Nous avons tenté de faire le point sur les actions en cours.

N'hésitez pas à compléter ce compte rendu si il y manque des éléments.

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Le projet épicerie solidaire.

Le projet d'épicerie solidaire avance à petit pas mais il avance.

Les épiceries citoyennes / Les Articles | Porte Voix (webador.fr)

Nous devrions pouvoir mettre en place un premier placard dans quelques semaines.

Des débuts qui seront modestes avec une première phase d'expérimentation qui viendra nourrir le projet.

Si vous voulez vous joindre à l'aventure de l'épicerie solidaire du Bono, n'hésitez pas à contacter le porte-voix.

portevoixdubono@protonmail.com

Il a été également fait référence à un autre projet du même type dans des grandes villes comme Lyon:

Les portes manteaux solidaires.

Il s'agit de porte manteaux publics où chacun peut laisser des manteaux et des vêtements chauds pour l'hiver en libre accès.

Le projet pour la mise en place d'un réseau d'entraide locale.

Depuis un petit groupe s'est constitué et a avancé sur le sujet.

Ce service d'entraide passera par une plate forme numérique.

En s'inspirant de ce qui existe déjà et après un retour d'expérience  des différentes formules,  un site est en cours de création et devrait être rapidement opérationnel.

Le groupe vous tiendra informé de sa mise en route.

N'hésitez pas à les contacter via le porte voix qui vous mettra en contact avec eux:

portevoixdubono@protonmail.com

Les invisibles du Bono:

Une fois de plus, le constat est fait qu'une partie de la population du Bono est en situation de précarité, précarité d'autant plus difficile qu'elle échappe aux circuits traditionnels d'entraide (CCAS, resto du coeur,..).

Une des raisons  avancées de cette précarité et de cette invisibilité est la pudeur.

Il difficile et parfois humiliant d'aller demander de l'aide.

La précarité est bien souvent alimentaire et énergétique.

Nous ne pouvons que constater notre impuissance  face à cette invisibilité.

Des initiatives du type épicerie solidaire ou encore le très beau projet de "Communes à Croquer" semblent être des réponses possibles.

Toutes les propositions sont bienvenues. 

N'hésitez pas à faire part de vos propositions dans la barre des commentaires sur le coté de ce compte rendu.

Le défi déclic au Bono:

Le défi déclic se termine mais une première graine a été semé au Bono.

L'équipe du Bono a envie de continuer à avancer sur ce sujet.

N'hésitez pas à venir les rejoindre et à prendre contact avec eux.

portevoixdubono@protonmail.com

L'accaparement et le devenir des terres:

Une citoyenne bonoviste nous fait part d'une information préoccupante:

De grandes entreprises sont en train d'acheter à grand frais les terres agricoles, en Bretagne et en France. Ce phénomène de privatisation des terres agricoles par de grandes enseignes, à l'heure où les agriculteurs partent tous à la retraite et où les jeunes agriculteurs qui veulent sortir du modèle chimique dominant ne trouvent pas de terre à cultiver, est inquiétant.

Un article va être bientôt publié sur ce sujet dans le Porte-Voix.

D'une manière plus large est ici posée la question du devenir des terres agricoles et notamment du devenir des terres agricoles au Bono.

Quelles terres pour quels projets agricoles sur la communes du Bono?

Un premier groupe de réflexion sur le covoiturage au Bono avait été mis en place il y a trois années.

Une première tentative d'organisation avait même été essayée mais n'avait pas été concluante.

Si les trajets au départ du Bono ne posait a priori pas de problème, cette organisation avait buté sur la problématique du retour.

Lorsque vous êtes arrivés à destination, à Auray par exemple, mais que le conducteur et le passager n'en ont pas pour le même temps sur place, comment faire?

La problématique du transport en commun au Bono est un sujet particulièrement sensible pour les jeunes du Bono qui ne disposent de quasiment aucun transport public à leur disposition pour circuler d'une ville à une autre.

A l'heure du réchauffement climatique, de la précarité énergétique et des fins de mois difficiles il serait sûrement intéressant de se pencher à nouveau sur la question du transport local.

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Il a été fait mention de la pertinence de mieux connaître les initiatives locales et les lieux alternatifs dans un proche périmètre.

Se rencontrer et se tenir informé de ce que font les "copains' pour se nourrir de nos expériences  et développer nos liens.

N'hésitez pas à mettre dans la barre des commentaires les lieux que vous souhaiteriez faire connaître et partager.

Parfois, ça se passe à coté de chez nous sans que nous n'en sachions rien!

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Plus de Bla bla mais des actes:

Pas de grandes révolutions mais des petites initiatives et des petits pas pour changer nos quotidiens.